Le guide du commerçant

Quels sont les différents modes de paiement ?

En tant que commerçant, vous devez connaître les différents moyens de paiement à votre disposition. Pour votre commerce physique ou en ligne, il est important que vous puissiez proposer à vos clients des modes de paiement variés et adaptés à ceux attendus par votre cible, pour enchanter leur expérience d’achat et éviter de perdre des ventes.

Qu’il s’agisse d’espèces, de chèques ou de cartes bancaires, pour ne citer qu’eux, chaque mode de paiement propose des avantages et des inconvénients. Découvrons-les !

La carte bancaire, grande favorite

La carte bancaire est le moyen de paiement numéro 1 en France et en Europe, d’ailleurs 71% des Français utilisent leur carte bancaire pour payer leurs achats, online comme offline.

Pratique, ce mode de paiement à vos clients permet d’acheter en boutique physique ou en ligne. Il est toutefois nécessaire de mettre en place les outils nécessaires pour pouvoir accepter ce mode de paiement, c’est à dire d’être affilié aux différents réseaux figurant sur les cartes bancaires.

Il existe 3 principaux acteurs sur le marché :

  • Visa, qui détient 60% des parts de marché
  • Mastercard, 2e acteur avec 30% des parts de marché
  • American Express, avec 8% des parts de marché. A noter que cette entreprise adopte un positionnement différent en ciblant une clientèle haut de gamme.

En fonction des acteurs, différentes options d’assistance et de services sont proposées au titulaire de la carte. On distingue :

  • Les cartes de retrait, dont la fonction est uniquement des retraits d’argent aux distributeurs automatiques du réseau bancaire du titulaire.
  • Les cartes de paiement contrôlé, qui interrogent systématiquement la provision du compte pour autoriser un paiement
  • Les cartes classiques, qui permettent un paiement immédiat (carte de débit) ou différé (carte de crédit). Ces cartes sont la plupart du temps internationales.

Il est important que vous renseignez sur votre site de e-commerce ou en magasin les options de paiement disponibles ainsi que les types de cartes bancaires que vous acceptez. Quelle que soit la carte utilisée, il est possible pour le commerçant d’exiger un montant minimum d’achat afin d’absorber les frais bancaires liés à son usage.

Les cartes bancaires peuvent réserver quelques surprises. En effet, les banques peuvent ne pas honorer les paiements acceptés sans procédure de contrôle. Ainsi, en carte d’achat avec une carte volée, le commerçant peut ne pas être réglé. C’est pourquoi, il est en droit de refuser le paiement avec une carte non signée au dos.

Avantages

  • Les banques proposent différents services aux commerçants, afin de les aider à optimiser leurs conversions
  • Le paiement par carte bancaire permet de fluidifier et d’accélérer le passage en caisse

Inconvénients

  • Les dépenses sont plafonnées, donc les paiements peuvent être refusés
  • Il y a des frais de transaction
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Les espèces, des limites à connaître

Deuxième mode de paiement préféré des Français pour les achats en magasin, le paiement en espèces ne concerne en revanche que 7% des achats en ligne, comme lors d’un paiement à la livraison. Les espèces sont le seul mode de paiement qu’il est interdit de refuser (le risque d’amende encourue est de 150€, sauf si :

  • Les billets sont très abîmés et peuvent être refusés par la Banque de France ;
  • Le commerçant ne dispose pas du rendu monnaie nécessaire et le client n’a pas l’appoint ;
  • Les espèces sont des devises étrangères ;
  • La monnaie est contrefaite.

D’utilisation simple et gratuite, les espèces libèrent des obligations de paiement immédiates. Cependant, leur usage est limité à 1 000 €, sauf si la résidence fiscale du débiteur se situe à l’étranger. Dans ce cas, le paiement en espèces peut aller jusqu’à 15 000€.

En revanche, entre particuliers, il n’y a pas de plafond pour les paiements en espèces. Il faudra toutefois rédiger un écrit comme preuve de versement pour les transactions dépassant 1 500€. De plus, le règlement d’un salaire supérieur à 1500€ ne pourra pas être fait en espèces.

Avantages

  • Une rapidité d’utilisation
  • Pas de frais de transaction

Inconvénients

  • Les dépenses sont plafonnées
  • Un temps de passage en caisse peut être long
  • Il y a un risque de fraude important avec des faux billets, généralement d’un montant de 20 et 50 €. Il est important de se doter d’un détecteur de fausse monnaie, comme un stylo.

Bon à savoir : 559 000 faux billets ont été retirés de la circulation en 2019 par la Banque Centrale Européenne.

Le portefeuille électronique

Le portefeuille électronique est un mode de paiement simple et pratique. Concrètement, il s’agit d’une application pour effectuer des paiements en ligne et des virements, depuis un ordinateur, une tablette ou un smartphone. L’utilisateur alimente ce portefeuille via son compte bancaire. Il n’a qu’à saisir son identifiant et son mot de passe lors d’une transaction pour la valider.

Plusieurs solutions de portefeuille électronique sont apparues depuis quelques années. Le leader est Paypal avec 10 M d’utilisateurs en France.

Avantages

  • Il n’y a pas d’information bancaire à saisir, c’est donc un gain de temps en caisse

  • C’est une solution totalement digitalisé, votre client n’a plus besoin de sa carte bancaire pour finaliser sa commande

Inconvénients

  • Les frais de transaction sont élevés

  • Les commerçants ont des demandes de remboursement plus fréquentes

Le paiement mobile

Le paiement mobile désigne toutes les transactions réalisées avec un smartphone, qu’elles soient en line ou en magasin. Encore peu développé, seulement 12% des Français utilisent ce mode de paiement.

Les paiements mobiles peuvent être débités sur le compte bancaire de l’acheteur, sur la facture opérateur, ou encore sur un portefeuille électronique (Apple Pay, Google Pay). Pour les accepter, le commerçant doit être équipé d’un terminal de paiement possédant la technologie NFC, comme pour les paiements sans contact.

Avantages

  • C’est un paiement rapide, aucune information n’est à ressaisir pour l’acheteur

  • Le plafond de dépenses est élevé, limité à 300€.

Inconvénient

  • Encore peu utilisé

Le virement bancaire

Peu répandu, ce mode de paiement représente 5% des transactions en ligne en France. Pour les paiements en ligne, le virement bancaire est un mode de paiement à distance pratique, notamment pour les gros montants. Ce moyen de paiement est incontournable pour les commerçants spécialisés dans la vente aux professionnels.

L’opération est effectuée par la banque du compte à débiter, et suppose une autorisation par le titulaire du compte débiteur. Le virement bancaire est très sécurisé grâce aux normes SEPA (Espace unique de paiement en euros), facile à mettre en place et gratuit.

Le principe est simple : le commerçant envoie à l’acheteur une facture contenant ses informations bancaires. A chaque transaction, les banques des comptes impliqués doivent notifier les titulaires des comptes.

Avantages

  • Rassurant et sécurisé

  • Il n’y pas de frais de transaction

  • Le plafond de dépenses est élevé

Inconvénient

  • Le virement bancaire est une démarche complexe, qui nuit à l’expérience client

Bon à savoir : Le virement interbancaire de paiement SEPA (ou TIP SEPA) est une autorisation de débit ponctuelle. Comparable à une autorisation de prélèvement, le TIP SEPA n’est toutefois valable qu’une seule fois et pour un montant donné. C’est un mode de paiement à utiliser pour régler des créances.

Les chèques, un usage qui recule

Ces dernières années, l’usage des chèques a reculé au profit des modes paiements digitaux. Ce mode de paiement perdure toutefois dans le domaine de la santé. Valables six mois, ils peuvent toutefois être refusés par un commerçant non adhérent à un centre de gestion agréé. Dans ce cas, il suffit de le signaler au moyen d’une affichette disposée avant le passage en caisse.

Il existe 5 sortes de chèques :

  • Le chèque de paiement, le plus utilisé

  • Le chèque non-barré, payable au guichet de la banque et endossable, c’est à dire qu’il peut être endossé à l’ordre du nom d’un nouveau bénéficiaire

  • Le chèque visé, qui garantie la provision du compte

  • Le chèque certifié, dont le montant est gardé sur le compte durant 8 jours

  • Le chèque de banque, qui est émit par la banque elle-même et est valable 1 an et 8 jours après son émission.

Pour que le paiement par chèque soit valable, il faut :

  • Que la somme soit écrite en chiffres et en lettres

  • Que le bénéficiaire soit lisible

  • Que la signature corresponde à celle enregistrée par la banque

  • Ne pas laisser de blanc sur l’espace dédié à l’inscription de la somme

  • Indiquer la date de signature, sans post-datage

Les commerçants ont le droit de demander une pièce d’identité pour accepter le mode de paiement par chèque.

Avantages

  • Il n’y a pas de frais de transaction

  • Aucun plafond

  • Les chèques permettent de conserver une trace du paiement : nom de la personne émettrice, nature, contenu, date…

Inconvénients

  • Il y a un risque de fraude élevé, en cas de provision insuffisante sur le compte de l’acheteur

  • Il n’est pas adapté aux paiements en ligne

Les monnaies virtuelles

Les cryptomonnaies, dont la plus connue est le bitcoin, commencent à se faire une place de choix dans l’univers des moyens de paiements puisque certains sites marchands les acceptent. Cependant, force est de reconnaître que ce mode de paiement reste encore marginal, notamment parce qu’il est encore très méconnu et qu’il est difficile d’anticiper leur avenir.

 

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En résumé

Un commerçant est libre d’accepter ou non certains types de paiement. Les modes de paiement disponibles sont très variés et répondent à tous les usages en ligne ou en boutique physique.

Que soit le secteur de votre activité, connaître les différents moyens de paiement à votre disposition vous permettra de proposer une expérience client toujours plus proche des attentes de votre cible.

 

 

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Quels sont les 7 moyens de paiement ?

Les 7 modes de paiement sont : la carte bancaire, les espèces, le portefeuille électronique, le paiement mobile, le virement bancaire, les chèques, les monnaies virtuelles.

Quels sont les différents modes de paiement en ligne ?

Pour vos paiements en ligne, vous pouvez proposer : la carte bancaire, le portefeuille électronique, le paiement mobile, le virement bancaire, ou encore les monnaies virtuelles.

Quel est le meilleur mode de paiement ?

La carte bancaire est le moyen de paiement numéro 1 en France et en Europe. Pour satisfaire vos clients, il est donc important que vous proposiez ce mode de règlement.

Quels sont les moyens de paiement les plus utilisés ?

Les moyens de paiement les plus utilisés sont la carte bancaire et les espèces.

Quels sont les nouveaux moyens de paiement ?

Le paiement mobile, le portefeuille électronique et les monnaies virtuelles sont de nouveaux moyens de paiement, en fort développement ces dernières années.

On pense souvent à tort qu’une rupture de stock signifie forcément que l’entreprise tourne à plein régime. Or, si cela peut être vrai en cas de succès inattendu d’un produit, elle peut également refléter une mauvaise gestion des stocks pouvant provoquer des pertes financières non négligeables, le mécontentement de la clientèle, voire des ruptures de contrats. Il est donc essentiel de l’anticiper au maximum pour éviter que vos clients ne s’orientent vers des produits de substitution.

Qu’est-ce qu’une rupture de stock ?

Pour comprendre comment éviter la rupture grâce à une bonne gestion de stock, il est nécessaire de définir précisément ce qu’est une rupture de stock et quelles en sont les raisons principales.

Rupture de stock : définition

Une rupture de stock de marchandises est un épuisement provisoire ou définitif (dans le cas de l’arrêt d’une production) d’un produit et/ou d’une marque. Les produits manquent à cause de tensions sur l’offre ou sur la demande.

La rupture peut intervenir lorsque le réapprovisionnement n’a pas lieu, ou si l’entreprise ne dispose pas de quantités suffisantes dans son entrepôt.

Le risque majeur d’une rupture de stock est la perte potentielle de chiffre d’affaires pour le distributeur et le producteur. En effet, si un acheteur peut décider de rester fidèle à son produit et sa marque en attendant le réapprovisionnement, il peut aussi réorienter son choix.

Une gestion des stocks efficace repose sur un équilibre demande / disponibilité. La rupture de stock survient lorsqu’il n’y a plus d’équilibre. Elle peut se calculer avec le taux de rupture, qui mesure la fréquence des ruptures de stock et permet d’estimer le manque à gagner.

Taux de rupture = (CA manque à gagner / CA total) x 100

 

Les raisons d’une rupture de stock

Les raisons principales d’une rupture sont diverses :

  • Une augmentation imprévue de la demande

  • Une mauvaise planification de la demande

  • Un écart entre les données du stock informatique et le stock physique

  • Une lenteur dans le traitement des approvisionnements

  • Des retards de transport

  • Une estimation erronée des commandes

  • Un manque de réactivité ou de fiabilité des fournisseurs

  • Une volonté de produire ou acheter en flux très tendus

  • Des erreurs humaines

 

Les conséquences de la rupture

En cas de rupture de stock, les conséquences sont immédiates et importantes pour l’entreprise. Le client est déçu. A la 1ere rupture, il risque de partir chez la concurrence pour trouver le produit qu’il cherchait. Si les ruptures se reproduisent, il ne reviendra plus.

Coté commerçant, la rupture est également problématique. Il va devoir dépenser plus d’argent pour remédier dans l’urgence à la situation : recours à des intérimaires, surplus de frais de livraison accélérée, mode de transport plus onéreux.

De nos jours, plus les entreprises stockent en entrepôt, plus leur coût logistique est important. La tendance est donc pour les enseignes à réduire les quantités en stock, en se servant de méthodes récentes comme le cross-docking.

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Comment prévenir une rupture de stock ?

En cas de rupture de stock, la première chose à faire est d’informer les clients de la rupture et de leur proposer des solutions alternatives : produits de remplacement, délai de réception plus long. Mais comment éviter cette situation compliquée ?

La rupture de stock n’est pas une fatalité si votre entreprise a mis en place une gestion de stock efficiente, avec une visibilité sur le long terme. Plusieurs méthodes permettent de la prévenir, comme la constitution d’un stock de sécurité, le travail en flux tendu, le suivi régulier de votre stock, et l’anticipation des ventes.

 

L’anticipation des ventes

Vous n’avez pas la maîtrise de tous les facteurs externes à votre organisation, notamment les fournisseurs que vous ne pouvez pas contrôler. Ces acteurs importants dans votre chaîne logistique peuvent être une source de retards dans vos livraisons entraînant une perte d’argent.

La seule solution pour ne pas être pénalisé est d’anticiper tout retard, erreur, ou croissance d’activité. Cela n’est possible qu’en vous dotant d’outils informatiques performants et d’une gestion des stocks qui favorise un suivi de leur niveau en temps réel.

S’agissant de la croissance de votre entreprise ou d’une hausse de la demande, votre activité doit vous permettre de vous donner quelques signes à analyser, comme les soldes, les fêtes (Saint-Valentin, fête des mères et des pères), les journées internationales, les anniversaires…

En dehors de ces périodes, rien n’empêche également de booster les ventes avec des promotions. Dans ce cas, il est évident qu’il faudra commander sur le ou les articles promotionnels afin de répondre à la demande créée, mais également augmenter sensiblement le volume de commande des autres références afin de réaliser des ventes additionnelles.

Pour anticiper vos ventes, il est nécessaire de connaître le cycle de vie de vos produits et de vous référer aux statistiques des années passées. Vous pouvez également définir votre besoin en fonction d’indicateurs comme le taux de rotation des marchandises ou la couverture de stock (nombre de jours de consommation auxquels l’entreprise peut faire face).

 

Le stock de sécurité

Définir des seuils d’approvisionnement et des quantités à commander favorise une bonne gestion de stock et évite les ruptures et le surstockage. C’est l’une des manières les plus efficaces pour anticiper efficacement l’un ou l’autre. Ces seuils peuvent être établis, notamment en fonction des délais de livraison des fournisseurs, et ce, quelle que soit la famille de produits.

  • Le stock de sécurité pour éviter les ruptures et autres aléas,

  • Le stock de découplage afin de disposer d’une alternative en cas de rupture malgré la constitution d’un stock de sécurité,

  • Le stock pool, permettant d’absorber les légères variations de commande.

Le stock de sécurité permet de définir un seuil au-delà duquel des alertes sont mises en place, et peut déclencher des commandes de réassort automatiques. Il y a toutefois un risque de mauvaise estimation de ce seuil : sous-évalué, il y a rupture ; surévalué, il y a des stocks dormants.

 

Une communication transparente

Selon que vous êtes commerçant ou industriel, doté d’un point de vente physique ou d’un site de vente en ligne, il est impératif de préserver votre relation client pour minimiser l’impact d’une rupture. Vous pouvez ainsi mettre en place un système de réservation de vos produits en cas de rupture, par exemple. Mais, dans tous les cas, il faut privilégier une communication transparente avec vos clients afin de renforcer votre crédibilité et bénéficier de retombées positives plutôt que de commentaires particulièrement impactant pour votre identité de marque.

Ruptures de stock et surstockages doivent absolument être évités par une entreprise. Pour y parvenir, la solution est de veiller à la mise en place d’une gestion de stock à forte valeur ajoutée favorisant l’équilibre.

 

Travailler en flux tendu

Aussi appelé “juste-à-temps”, le flux tendu est une technique de production dont l’objectif est de réduire à zéro les stocks de matière première et de produits finis pour réduire les coûts et les délais. Les entreprises peuvent ainsi tenter de réduire les délais d’obtention, c’est à dire le délai entre le passage de la commande et celui où elle est honorée.

Les essentiels pour une bonne gestion des stocks

Pour gérer avec efficacité les entrées et les sorties d’un espace de stockage, il est essentiel de définir un processus réfléchi de gestion de stock qui tienne compte à la fois de votre activité et des éléments extérieurs à votre entreprise : tendances du marché, demande, éléments externes à votre entreprise (fournisseurs, transporteurs, passages en douanes et transit….). Ces derniers permettent de déterminer :

  • Un seuil d’approvisionnement,

  • Les volumes à commander

  • Les quantités permettant de « tenir » en attendant le réapprovisionnement.

 

Les tendances du marché

Peu importe votre domaine d’activité, il est essentiel de mettre en place une veille continue pour analyser les tendances de consommation de votre clientèle. Cela permet d’ajuster en temps réel votre stratégie de gestion de stock.

 

La demande

La demande est également un précieux critère pour évaluer les quantités à commander, notamment en croisant ces données avec les tendances de votre marché. Vous pouvez ainsi réaliser une prévision de commande adaptée à la demande.

 

Les données externes

Délais de fabrication, de livraison, temps de transit — si vos produits sont importés — sont autant d’informations à connaître sur le bout de doigts pour la gestion de votre stock, et fixer les moments les plus opportuns pour passer vos commandes afin de ne pas rester sans stock durant cette période.

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